Présentation du Master DMC

LE MASTER DMC : UNE FORMATION D’EXCELLENCE…

Le Master 2 « Digital, Médias & Cinéma » (anciennement « Cinéma, Télévision, Nouveaux Médias ») fait figure d’exception dans le paysage des masters universitaires par son projet pédagogique et son mode de fonctionnement. Les étudiants y sont en contact direct tout d’abord avec le monde professionnel, une large partie des cours étant confiée à des producteurs, distributeurs, cadres dirigeants et ou innovateurs du monde du digital, des médias et du cinéma. Ceux-ci viennent transmettre leurs savoirs et faire comprendre leurs métiers. La formation est construite par ailleurs autour de nombreux cas pratiques et de travaux de groupes destinés à mettre les étudiants en situation réelle, à encourager leur esprit d’initiative et leur prise de responsabilité. Créé dans l’UFR actuelle par François Garçon, s’inscrivant lui-même dans la filiation du professeur Daniel Sabatier, le Master est aujourd’hui co-dirigé par Nicolas Brigaud-Robert (docteur en sociologie, spécialiste de la socio-économie des médias, fondateur et dirigeant de Playtime) et Stéphane Goudet (docteur en histoire du cinéma, chercheur et critique ainsi que directeur artistique de la salle Le Méliès) ainsi que coordonné par Cyril Barthet (entrepreneur et DG de ProfilCulture). Le Master est un troisième cycle universitaire d’excellence, il forme chaque année des promotions limitées à 21 étudiants. Les candidats retenus viennent d’horizons scolaires divers et présentent souvent des trajectoires atypiques mais ont tous en commun d’avoir prouvé une très forte motivation pour le secteur auquel ils se destinent, une grande curiosité intellectuelle et une forme d’exigence envers eux-mêmes qui sont les qualités indispensables pour réussir une scolarité au sein du Master DMC.

…OÙ SE FORMENT LES CADRES DE HAUT NIVEAU ET LES ENTREPRENEURS DU DIGITAL, DES MÉDIAS & DU CINÉMA

La maîtrise des grands enjeux du secteur passe par une approche pluridisciplinaire sur laquelle insiste le Master dans son offre de cours. Aussi les étudiants abordent le droit, l’économie, la sociologie, l’entreprenariat, l’analyse de contenus et des images, la gestion et le financement de projets, le marketing. Comment se programme une chaîne de télévision ? Ou comment finance-t-on un film ou une série internationale ? Ou encore quel est le modèle économique de « YouTube » ? sont typiquement des questions abordées en cours. Il s’agit pour les étudiants d’être capables d’être opérationnels dès leur sortie du diplôme dans les métiers du digital (des plateformes de diffusion aux sites éditeurs), de la télévision (des chaînes nationales aux société de production) ou du cinéma (de la distribution à l’exploitation en passant par les ventes internationales). Le Master est une formation professionnalisante qui doit être validée par un stage de trois à six mois. L’accent est mis sur une politique de suivi individualisé des étudiants. Les directeurs et les intervenants réguliers sont disponibles toute l’année pour des rencontres individuelles afin de préciser en particulier le projet professionnel de l’étudiant.

LA RENOMMÉE DU MASTER

La renommée du Master est à l’égal aujourd’hui de la qualité de ses intervenants professionnels issus des plus grandes entreprises du secteur et du soutien financier que celles-ci lui fournissent à travers la taxe d’apprentissage. Le nombre de candidatures a doublé entre 2009 et aujourd’hui. Le Master reçoit maintenant plus de 250 candidatures de France et de l’étranger. Dès la rentrée les étudiants sont réunis au sein l’association Timédia (association des éléves) et sont accueillis par le Médiaclub (association des professionnels de l’audiovisuel) – réseau d’entraide très actif au service des anciens tout au long de leur carrière ainsi qu’auprès des jeunes diplômés.

LE CADRE D’ENSEIGNEMENT

L’INHA

L’année universitaire se déroule dans les magnifiques locaux de l’Institut National d’Histoire de l’Art situés 6, rue des Petits Champs dans le 2e arrondissement de Paris, à deux pas du Louvre, du Palais-Royal et de l’Opéra Garnier.

L’INHA héberge actuellement de nombreuses institutions actives dans le domaine de l’histoire de l’art à Paris et dans sa région. Plus de 300 enseignants-chercheurs, conservateurs et personnels scientifiques ainsi qu’un millier d’étudiants sont amenés à fréquenter les cinq étages de la Galerie.

L’INHA accueille également dans ses locaux plusieurs Universités et centres de recherches parmi les plus prestigieux : Paris Panthéon Sorbonne, Sorbonne Nouvelle, Paris Sorbonne, Denis Diderot, Vincennes Saint Denis, Nanterre, EHESS, Ecole Pratique des Hautes Etudes et plusieurs institutions rattachées au CNRS.

Découvrir l’INHA : www.inha.fr

La Galerie Colbert

À l’origine l’Hôtel Bautru fut édifié en 1637 par l’un des favoris du Cardinal Richelieu et en 1665 l’édifice fut racheté par l’Intendant des finances et Surintendant des bâtiments du Roi Jean-Baptiste Colbert. Depuis, l’architecture du bâtiment a connu de nombreux aménagements jusqu’à la démolition et la reconstruction de la galerie en 1982 et à son attribution en 1996 à l’INHA.

Mêlant architecture ancienne et modernité des matériaux comme le bois, le métal et le verre, la Galerie Colbert et ses espaces rénovés offrent pour les étudiants et les professionnels un écrin exceptionnel d’enseignement.

Les salles de classe sont dotées du matériel le plus moderne (rétro-projecteur, salle de conférence, amphithéâtre, matériel multimédia…). L’emplacement de la Galerie Colbert est un atout supplémentaire grâce à la proximité du Louvre, de la Comédie Française, de l’Opéra Garnier, du quartier d’Haussmann et de la Place des Victoires.

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